SÉANCE 4 – L’ALLÉGORIE DE LA CAVERNE, de Platon

- en arrivant, afficher la synthèse des règles du G1

- 6 mn : Retour sur les 3 séances avec un débat mouvant (debout, on se positionne d’un côté ou de l’autre du cercle selon les réponses: oui/non/entre les deux):

1. Après ces 3 séances, avez-vous le sentiment de commencer à comprendre ce qu’est la philosophie ?
2. Est-ce que l’idée d’être perdu par moments vous dérange ?
3. Vous rappelez-vous d’une règle parmi celles qu’on a établies la dernière fois? (faire le lien avec la synthèse affichée). On se réinterrogera de temps en temps pour voir si les règles sont toujours valides.

- 5 mn : demander d’allumer la bougie et proposer de se recentrer 1 mn en observant la flamme et notre respiration telle qu’elle se présente

- 10 mn : faire circuler les images plastifiées illustrant la caverne puisconte de l’allégorie (1^èreannexe)

Activité en 3 étapes (2^èmeannexe)

- 10 mn : Les jeunes se mettent par groupes de 3 pour réfléchir à ce qu’ils feraient à la place de l’homme (notes/dessins/griffonnages/mots jetés… sur les cahiers philo) et y inscrivent leur.s réponse.s collective ou non. Mise à disposition des images plastifiées.

Pendant ce temps, Catherine note au tableau les différentes notions abordées dans l’allégorie.

- 7 mn : retour en grand groupe. Chaque groupe restitue ses réponses oralement et Catherine fait les liens avec les concepts affichés. On observe les réponses similaires.

- 3 mn : en reprenant les mêmes sous-groupes, demander aux jeunes de chercher chacun 1 question qu’ils souhaiteraient aborder autour des différentes notions/concepts qui ont émergés. Faire une photo du tableau.

- 6 mn : catherine écrit les questions. La séance suivante, le groupe choisira la question à discuter.

- un élève éteint la bougie.

- 5 mn : Bilan personnel : est-ce qu’il peut être utile de se sentir parfois perdu? Pensez à des lectures ou des films ou des expériences personnelles + le Blob tree

> bilan cahier pas fait mais pas gênant car une activité avec le cahier a eu lieu.

Confidentialité : règle de discrétion quand les discussions impliquent des situations vécues. Et en même temps, la réflexion philosophique demande de prendre de la hauteur, du recul, sur ses idées, ses opinions, afin de toucher à l’universel de l’existence humaine. Le besoin de confidentialité entrerait donc en conflit avec la finalité même de la communauté de recherche philosophique… Peut-être la redéfinir comme un besoin d’attitude bienveillante de la part de tous ?

vers: 

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